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Articles

Affichage des articles du février, 2014

Ne me dites pas comment m'habiller ! Dites leur de ne pas violer.

La première fois que j'ai vu cette image j'ai tout de suite eu envie d'écrire un article sur le sujet. J'y ai énormément pensé, surtout lorsqu'un garçon de ma connaissance au détour d'une conversation m'a dit : "Non mais quand une fille habillée comme une pute trémousse sn cul devant un gars toute la soirée et qu'après elle lui dit non, je peux comprendre qu'il pète un câble. On est guidés par nos instincts, tu sais !" Si vous n'êtes pas sûrs d'avoir bien lu ce ramassis d'aberrations n'hésitez pas à relire cette phrase hautement philosophie pour en prendre pleinement conscience. Si je fais de la paraphrase, les hommes, pauvres créatures sous l'emprise de leurs besoins animaux ne peuvent s'empêcher de se débraguetter quand ils voient un string d'un peu trop près. Et la jeune femelle, une fois qu'elle a enclenché le processus de séduction, ne peut plus revenir en arrière sous peine de se prendre un peti

Il aura suffi de cinq minutes.

Comme je l'ai déjà dit, j'entretiens un rapport plus que complexe avec la nuit : elle est à la fois ma meilleure alliée et ma pire ennemie. Durant mes années d'insomnie, j'ai passé des nuits entières à lire, ce qui m'a permis de développer ma passion de la lecture et dans le même temps mon imagination. Mais ces longues heures de pénombre m'ont toujours oppresséess. La nuit pour moi c'est un peu comme lorsque je suis dans l'eau, ce n'est pas mon élément, je n'y suis pas à l'aise, je m'y sens vulnérable.  Pourtant ces derniers temps ça allait mieux. Premièrement parce que l'amoureux est là et que le simple contact de son corps contre le mien m'apaise. Mais aussi, et surtout, parce que la nuit, j'écris et que mes mots m'aident à apprivoiser cette partie de ma vie qui me fait si peur.  Et puis, il y a quelques temps mon fragile équilibre a basculé. Il aura suffi de cinq minutes pour que tout s'effondre, qu